FAQ Collaboration libérales

Attention : la présente foire aux questions n’est plus à jour depuis le 2 mai 2015.
L’équipe SOS Collaborateurs travaille depuis 2021 à une mise à jour de celle-ci et reste à votre disposition pour
répondre à vos questions et vous assister pour toute difficulté

Avant toute chose ...

Rappelons que la collaboration libérale entre avocats est soumise aux règles édictées par :

– L’article 18 de la Loi n°2005-882 du 2 Août 2005 ; 
– Les Articles 7 et 17 de la Loi n°71-1130 du 31 Décembre 1971 ;
– L’Article 17 de la Loi n°2014-873 du 4 août 2014;
– Les Articles 129 à 135 & 142 à 153 du Décret n°91-1197 du 27 Novembre 1991 ;
– L’article 14 du Règlement Intérieur National (RIN) ;
– L’article P. 14 du Règlement Intérieur du Barreau de Paris (RIBP) ;
– L’Annexe VI du Règlement Intérieur du Barreau de Paris (RIBP) ;

Et Surtout … :

Le contrat de collaboration libérale signé entre les parties ;

– ainsi que ses avenants éventuels ….

Les réponses qui suivent sont faites au regard des dispositions règlementaires a minima applicables au contrat de collaboration libérale.

Elles ne préjudicient pas des dispositions plus favorables que le collaborateur libéral peut obtenir en négociant le contenu de son contrat de collaboration avec son cabinet.

Rappelons par ailleurs que les modifications des dispositions réglementaires, y compris celles du Règlement Intérieur National, s’appliquent, sauf dispositions contraires contenues dans celles-ci, aux contrats de collaboration en cours à compter de leur publication au JOURNAL OFFICIEL (Cour d’Appel de Paris 10 Février 2009, RG n°07/01644).

En cas de conflits …

« En cas d’indisponibilité pour raison de santé au cours d’une même année civile, l’avocat collaborateur libéral reçoit pendant deux mois maximum sa rétrocession d’honoraires habituelle, sous déduction des indemnités journalières éventuellement perçues au titre des régimes de prévoyance collective du barreau ou individuelle obligatoire. Une telle indisponibilité pendant la période d’essai suspend celle-ci. La période d’essai reprend de plein droit, pour la durée restant à courir, au retour du collaborateur » (article 14.3 du RIN).

« En cas d’indisponibilité pour raison de santé médicalement constatée au cours d’une même année civile, l’avocat collaborateur libéral reçoit pendant deux mois maximum sa rétrocession d’honoraires habituelle, sous déduction des indemnités journalières éventuellement perçues au titre des régimes de prévoyance collective du barreau ou individuelle obligatoire. Une telle indisponibilité pendant la période d’essai suspend celle-ci. La période d’essai reprend de plein droit, pour la durée restant à courir, au retour du collaborateur » (article P.14.3 du RIBP).

Ainsi, en cas de maladie, le collaborateur perçoit sa rémunération pendant 2 mois, sous déduction des indemnités journalières perçues sous ce chef de la sécurité sociale et des régimes complémentaires obligatoires de prévoyance.

Ces arrêts maladie peuvent être successifs : le principe étant que le total des arrêts indemnisés soit de 2 mois au cours de la même année civile.

Au-delà de 2 mois, les jours d’arrêt de travail entraîneront une réduction de la rétrocession au prorata des jours non travaillés dans le mois.

Exemple de calcul pour un contrat de collaboration à temps plein :

Pour un collaborateur qui perçoit une rétrocession de 4.000 euros HT mensuelle.

Si au cours du mois, il a perçu 500 euros d’indemnités journalières en raison d’arrêts maladie, le cabinet lui versera une rétrocession de :

4.000 euros – 500 euros = 3.500 euros HT.

Exemple de calcul pour un contrat de collaboration à temps partiel :

Si le contrat de collaboration est à temps partiel, la déduction se fait alors en fonction d’un prorata temporis.

Pour un collaborateur qui perçoit une rétrocession de 2.300 euros HT mensuelle à mi-temps.

Si au cours du mois il a perçu 350 euros d’Indemnités Journalière en raison d’arrêts maladie, le cabinet lui versera une rétrocession de :

2.300 euros– 350 euros/ 2 = 2.125 euros HT.

Seules les indemnités perçues sur la période doivent être déduites de la rétrocession d’honoraires, le cabinet assumant le retard de règlement des organismes sociaux. 

N.B : en aucun cas le cabinet ne peut demander au collaborateur de travailler à distance des dossiers du cabinet lors de son arrêt maladie.

« En cas d’indisponibilité pour raison de santé au cours d’une même année civile, l’avocat collaborateur libéral reçoit pendant deux mois maximum sa rétrocession d’honoraires habituelle, sous déduction des indemnités journalières éventuellement perçues au titre des régimes de prévoyance collective du barreau ou individuelle obligatoire. Une telle indisponibilité pendant la période d’essai suspend celle-ci. La période d’essai reprend de plein droit, pour la durée restant à courir, au retour du collaborateur » (article 14.3 du RIN).

« En cas d’indisponibilité pour raison de santé médicalement constatée au cours d’une même année civile, l’avocat collaborateur libéral reçoit pendant deux mois maximum sa rétrocession d’honoraires habituelle, sous déduction des indemnités journalières éventuellement perçues au titre des régimes de prévoyance collective du barreau ou individuelle obligatoire. Une telle indisponibilité pendant la période d’essai suspend celle-ci. La période d’essai reprend de plein droit, pour la durée restant à courir, au retour du collaborateur » (article P.14.3 du RIBP).

Ainsi, en cas de maladie, le collaborateur perçoit sa rémunération pendant 2 mois, sous déduction des indemnités journalières perçues sous ce chef de la sécurité sociale et des régimes complémentaires obligatoires de prévoyance.

Ces arrêts maladie peuvent être successifs : le principe étant que le total des arrêts indemnisés soit de 2 mois au cours de la même année civile.

Au-delà de 2 mois, les jours d’arrêt de travail entraîneront une réduction de la rétrocession au prorata des jours non travaillés dans le mois.

Exemple de calcul pour un contrat de collaboration à temps plein :

Pour un collaborateur qui perçoit une rétrocession de 4.000 euros HT mensuelle.

Si au cours du mois, il a perçu 500 euros d’indemnités journalières en raison d’arrêts maladie, le cabinet lui versera une rétrocession de :

4.000 euros – 500 euros = 3.500 euros HT.

Exemple de calcul pour un contrat de collaboration à temps partiel :

Si le contrat de collaboration est à temps partiel, la déduction se fait alors en fonction d’un prorata temporis.

Pour un collaborateur qui perçoit une rétrocession de 2.300 euros HT mensuelle à mi-temps.

Si au cours du mois il a perçu 350 euros d’Indemnités Journalière en raison d’arrêts maladie, le cabinet lui versera une rétrocession de :

2.300 euros– 350 euros/ 2 = 2.125 euros HT.

Seules les indemnités perçues sur la période doivent être déduites de la rétrocession d’honoraires, le cabinet assumant le retard de règlement des organismes sociaux. 

N.B : en aucun cas le cabinet ne peut demander au collaborateur de travailler à distance des dossiers du cabinet lors de son arrêt maladie.

« En cas d’indisponibilité pour raison de santé au cours d’une même année civile, l’avocat collaborateur libéral reçoit pendant deux mois maximum sa rétrocession d’honoraires habituelle, sous déduction des indemnités journalières éventuellement perçues au titre des régimes de prévoyance collective du barreau ou individuelle obligatoire. Une telle indisponibilité pendant la période d’essai suspend celle-ci. La période d’essai reprend de plein droit, pour la durée restant à courir, au retour du collaborateur » (article 14.3 du RIN).

« En cas d’indisponibilité pour raison de santé médicalement constatée au cours d’une même année civile, l’avocat collaborateur libéral reçoit pendant deux mois maximum sa rétrocession d’honoraires habituelle, sous déduction des indemnités journalières éventuellement perçues au titre des régimes de prévoyance collective du barreau ou individuelle obligatoire. Une telle indisponibilité pendant la période d’essai suspend celle-ci. La période d’essai reprend de plein droit, pour la durée restant à courir, au retour du collaborateur » (article P.14.3 du RIBP).

Ainsi, en cas de maladie, le collaborateur perçoit sa rémunération pendant 2 mois, sous déduction des indemnités journalières perçues sous ce chef de la sécurité sociale et des régimes complémentaires obligatoires de prévoyance.

Ces arrêts maladie peuvent être successifs : le principe étant que le total des arrêts indemnisés soit de 2 mois au cours de la même année civile.

Au-delà de 2 mois, les jours d’arrêt de travail entraîneront une réduction de la rétrocession au prorata des jours non travaillés dans le mois.

Exemple de calcul pour un contrat de collaboration à temps plein :

Pour un collaborateur qui perçoit une rétrocession de 4.000 euros HT mensuelle.

Si au cours du mois, il a perçu 500 euros d’indemnités journalières en raison d’arrêts maladie, le cabinet lui versera une rétrocession de :

4.000 euros – 500 euros = 3.500 euros HT.

Exemple de calcul pour un contrat de collaboration à temps partiel :

Si le contrat de collaboration est à temps partiel, la déduction se fait alors en fonction d’un prorata temporis.

Pour un collaborateur qui perçoit une rétrocession de 2.300 euros HT mensuelle à mi-temps.

Si au cours du mois il a perçu 350 euros d’Indemnités Journalière en raison d’arrêts maladie, le cabinet lui versera une rétrocession de :

2.300 euros– 350 euros/ 2 = 2.125 euros HT.

Seules les indemnités perçues sur la période doivent être déduites de la rétrocession d’honoraires, le cabinet assumant le retard de règlement des organismes sociaux. 

N.B : en aucun cas le cabinet ne peut demander au collaborateur de travailler à distance des dossiers du cabinet lors de son arrêt maladie.

« En cas d’indisponibilité pour raison de santé au cours d’une même année civile, l’avocat collaborateur libéral reçoit pendant deux mois maximum sa rétrocession d’honoraires habituelle, sous déduction des indemnités journalières éventuellement perçues au titre des régimes de prévoyance collective du barreau ou individuelle obligatoire. Une telle indisponibilité pendant la période d’essai suspend celle-ci. La période d’essai reprend de plein droit, pour la durée restant à courir, au retour du collaborateur » (article 14.3 du RIN).

« En cas d’indisponibilité pour raison de santé médicalement constatée au cours d’une même année civile, l’avocat collaborateur libéral reçoit pendant deux mois maximum sa rétrocession d’honoraires habituelle, sous déduction des indemnités journalières éventuellement perçues au titre des régimes de prévoyance collective du barreau ou individuelle obligatoire. Une telle indisponibilité pendant la période d’essai suspend celle-ci. La période d’essai reprend de plein droit, pour la durée restant à courir, au retour du collaborateur » (article P.14.3 du RIBP).

Ainsi, en cas de maladie, le collaborateur perçoit sa rémunération pendant 2 mois, sous déduction des indemnités journalières perçues sous ce chef de la sécurité sociale et des régimes complémentaires obligatoires de prévoyance.

Ces arrêts maladie peuvent être successifs : le principe étant que le total des arrêts indemnisés soit de 2 mois au cours de la même année civile.

Au-delà de 2 mois, les jours d’arrêt de travail entraîneront une réduction de la rétrocession au prorata des jours non travaillés dans le mois.

Exemple de calcul pour un contrat de collaboration à temps plein :

Pour un collaborateur qui perçoit une rétrocession de 4.000 euros HT mensuelle.

Si au cours du mois, il a perçu 500 euros d’indemnités journalières en raison d’arrêts maladie, le cabinet lui versera une rétrocession de :

4.000 euros – 500 euros = 3.500 euros HT.

Exemple de calcul pour un contrat de collaboration à temps partiel :

Si le contrat de collaboration est à temps partiel, la déduction se fait alors en fonction d’un prorata temporis.

Pour un collaborateur qui perçoit une rétrocession de 2.300 euros HT mensuelle à mi-temps.

Si au cours du mois il a perçu 350 euros d’Indemnités Journalière en raison d’arrêts maladie, le cabinet lui versera une rétrocession de :

2.300 euros– 350 euros/ 2 = 2.125 euros HT.

Seules les indemnités perçues sur la période doivent être déduites de la rétrocession d’honoraires, le cabinet assumant le retard de règlement des organismes sociaux. 

N.B : en aucun cas le cabinet ne peut demander au collaborateur de travailler à distance des dossiers du cabinet lors de son arrêt maladie.

« En cas d’indisponibilité pour raison de santé au cours d’une même année civile, l’avocat collaborateur libéral reçoit pendant deux mois maximum sa rétrocession d’honoraires habituelle, sous déduction des indemnités journalières éventuellement perçues au titre des régimes de prévoyance collective du barreau ou individuelle obligatoire. Une telle indisponibilité pendant la période d’essai suspend celle-ci. La période d’essai reprend de plein droit, pour la durée restant à courir, au retour du collaborateur » (article 14.3 du RIN).

« En cas d’indisponibilité pour raison de santé médicalement constatée au cours d’une même année civile, l’avocat collaborateur libéral reçoit pendant deux mois maximum sa rétrocession d’honoraires habituelle, sous déduction des indemnités journalières éventuellement perçues au titre des régimes de prévoyance collective du barreau ou individuelle obligatoire. Une telle indisponibilité pendant la période d’essai suspend celle-ci. La période d’essai reprend de plein droit, pour la durée restant à courir, au retour du collaborateur » (article P.14.3 du RIBP).

Ainsi, en cas de maladie, le collaborateur perçoit sa rémunération pendant 2 mois, sous déduction des indemnités journalières perçues sous ce chef de la sécurité sociale et des régimes complémentaires obligatoires de prévoyance.

Ces arrêts maladie peuvent être successifs : le principe étant que le total des arrêts indemnisés soit de 2 mois au cours de la même année civile.

Au-delà de 2 mois, les jours d’arrêt de travail entraîneront une réduction de la rétrocession au prorata des jours non travaillés dans le mois.

Exemple de calcul pour un contrat de collaboration à temps plein :

Pour un collaborateur qui perçoit une rétrocession de 4.000 euros HT mensuelle.

Si au cours du mois, il a perçu 500 euros d’indemnités journalières en raison d’arrêts maladie, le cabinet lui versera une rétrocession de :

4.000 euros – 500 euros = 3.500 euros HT.

Exemple de calcul pour un contrat de collaboration à temps partiel :

Si le contrat de collaboration est à temps partiel, la déduction se fait alors en fonction d’un prorata temporis.

Pour un collaborateur qui perçoit une rétrocession de 2.300 euros HT mensuelle à mi-temps.

Si au cours du mois il a perçu 350 euros d’Indemnités Journalière en raison d’arrêts maladie, le cabinet lui versera une rétrocession de :

2.300 euros– 350 euros/ 2 = 2.125 euros HT.

Seules les indemnités perçues sur la période doivent être déduites de la rétrocession d’honoraires, le cabinet assumant le retard de règlement des organismes sociaux. 

N.B : en aucun cas le cabinet ne peut demander au collaborateur de travailler à distance des dossiers du cabinet lors de son arrêt maladie.

« En cas d’indisponibilité pour raison de santé au cours d’une même année civile, l’avocat collaborateur libéral reçoit pendant deux mois maximum sa rétrocession d’honoraires habituelle, sous déduction des indemnités journalières éventuellement perçues au titre des régimes de prévoyance collective du barreau ou individuelle obligatoire. Une telle indisponibilité pendant la période d’essai suspend celle-ci. La période d’essai reprend de plein droit, pour la durée restant à courir, au retour du collaborateur » (article 14.3 du RIN).

« En cas d’indisponibilité pour raison de santé médicalement constatée au cours d’une même année civile, l’avocat collaborateur libéral reçoit pendant deux mois maximum sa rétrocession d’honoraires habituelle, sous déduction des indemnités journalières éventuellement perçues au titre des régimes de prévoyance collective du barreau ou individuelle obligatoire. Une telle indisponibilité pendant la période d’essai suspend celle-ci. La période d’essai reprend de plein droit, pour la durée restant à courir, au retour du collaborateur » (article P.14.3 du RIBP).

Ainsi, en cas de maladie, le collaborateur perçoit sa rémunération pendant 2 mois, sous déduction des indemnités journalières perçues sous ce chef de la sécurité sociale et des régimes complémentaires obligatoires de prévoyance.

Ces arrêts maladie peuvent être successifs : le principe étant que le total des arrêts indemnisés soit de 2 mois au cours de la même année civile.

Au-delà de 2 mois, les jours d’arrêt de travail entraîneront une réduction de la rétrocession au prorata des jours non travaillés dans le mois.

Exemple de calcul pour un contrat de collaboration à temps plein :

Pour un collaborateur qui perçoit une rétrocession de 4.000 euros HT mensuelle.

Si au cours du mois, il a perçu 500 euros d’indemnités journalières en raison d’arrêts maladie, le cabinet lui versera une rétrocession de :

4.000 euros – 500 euros = 3.500 euros HT.

Exemple de calcul pour un contrat de collaboration à temps partiel :

Si le contrat de collaboration est à temps partiel, la déduction se fait alors en fonction d’un prorata temporis.

Pour un collaborateur qui perçoit une rétrocession de 2.300 euros HT mensuelle à mi-temps.

Si au cours du mois il a perçu 350 euros d’Indemnités Journalière en raison d’arrêts maladie, le cabinet lui versera une rétrocession de :

2.300 euros– 350 euros/ 2 = 2.125 euros HT.

Seules les indemnités perçues sur la période doivent être déduites de la rétrocession d’honoraires, le cabinet assumant le retard de règlement des organismes sociaux. 

N.B : en aucun cas le cabinet ne peut demander au collaborateur de travailler à distance des dossiers du cabinet lors de son arrêt maladie.

« En cas d’indisponibilité pour raison de santé au cours d’une même année civile, l’avocat collaborateur libéral reçoit pendant deux mois maximum sa rétrocession d’honoraires habituelle, sous déduction des indemnités journalières éventuellement perçues au titre des régimes de prévoyance collective du barreau ou individuelle obligatoire. Une telle indisponibilité pendant la période d’essai suspend celle-ci. La période d’essai reprend de plein droit, pour la durée restant à courir, au retour du collaborateur » (article 14.3 du RIN).

« En cas d’indisponibilité pour raison de santé médicalement constatée au cours d’une même année civile, l’avocat collaborateur libéral reçoit pendant deux mois maximum sa rétrocession d’honoraires habituelle, sous déduction des indemnités journalières éventuellement perçues au titre des régimes de prévoyance collective du barreau ou individuelle obligatoire. Une telle indisponibilité pendant la période d’essai suspend celle-ci. La période d’essai reprend de plein droit, pour la durée restant à courir, au retour du collaborateur » (article P.14.3 du RIBP).

Ainsi, en cas de maladie, le collaborateur perçoit sa rémunération pendant 2 mois, sous déduction des indemnités journalières perçues sous ce chef de la sécurité sociale et des régimes complémentaires obligatoires de prévoyance.

Ces arrêts maladie peuvent être successifs : le principe étant que le total des arrêts indemnisés soit de 2 mois au cours de la même année civile.

Au-delà de 2 mois, les jours d’arrêt de travail entraîneront une réduction de la rétrocession au prorata des jours non travaillés dans le mois.

Exemple de calcul pour un contrat de collaboration à temps plein :

Pour un collaborateur qui perçoit une rétrocession de 4.000 euros HT mensuelle.

Si au cours du mois, il a perçu 500 euros d’indemnités journalières en raison d’arrêts maladie, le cabinet lui versera une rétrocession de :

4.000 euros – 500 euros = 3.500 euros HT.

Exemple de calcul pour un contrat de collaboration à temps partiel :

Si le contrat de collaboration est à temps partiel, la déduction se fait alors en fonction d’un prorata temporis.

Pour un collaborateur qui perçoit une rétrocession de 2.300 euros HT mensuelle à mi-temps.

Si au cours du mois il a perçu 350 euros d’Indemnités Journalière en raison d’arrêts maladie, le cabinet lui versera une rétrocession de :

2.300 euros– 350 euros/ 2 = 2.125 euros HT.

Seules les indemnités perçues sur la période doivent être déduites de la rétrocession d’honoraires, le cabinet assumant le retard de règlement des organismes sociaux. 

N.B : en aucun cas le cabinet ne peut demander au collaborateur de travailler à distance des dossiers du cabinet lors de son arrêt maladie.

« En cas d’indisponibilité pour raison de santé au cours d’une même année civile, l’avocat collaborateur libéral reçoit pendant deux mois maximum sa rétrocession d’honoraires habituelle, sous déduction des indemnités journalières éventuellement perçues au titre des régimes de prévoyance collective du barreau ou individuelle obligatoire. Une telle indisponibilité pendant la période d’essai suspend celle-ci. La période d’essai reprend de plein droit, pour la durée restant à courir, au retour du collaborateur » (article 14.3 du RIN).

« En cas d’indisponibilité pour raison de santé médicalement constatée au cours d’une même année civile, l’avocat collaborateur libéral reçoit pendant deux mois maximum sa rétrocession d’honoraires habituelle, sous déduction des indemnités journalières éventuellement perçues au titre des régimes de prévoyance collective du barreau ou individuelle obligatoire. Une telle indisponibilité pendant la période d’essai suspend celle-ci. La période d’essai reprend de plein droit, pour la durée restant à courir, au retour du collaborateur » (article P.14.3 du RIBP).

Ainsi, en cas de maladie, le collaborateur perçoit sa rémunération pendant 2 mois, sous déduction des indemnités journalières perçues sous ce chef de la sécurité sociale et des régimes complémentaires obligatoires de prévoyance.

Ces arrêts maladie peuvent être successifs : le principe étant que le total des arrêts indemnisés soit de 2 mois au cours de la même année civile.

Au-delà de 2 mois, les jours d’arrêt de travail entraîneront une réduction de la rétrocession au prorata des jours non travaillés dans le mois.

Exemple de calcul pour un contrat de collaboration à temps plein :

Pour un collaborateur qui perçoit une rétrocession de 4.000 euros HT mensuelle.

Si au cours du mois, il a perçu 500 euros d’indemnités journalières en raison d’arrêts maladie, le cabinet lui versera une rétrocession de :

4.000 euros – 500 euros = 3.500 euros HT.

Exemple de calcul pour un contrat de collaboration à temps partiel :

Si le contrat de collaboration est à temps partiel, la déduction se fait alors en fonction d’un prorata temporis.

Pour un collaborateur qui perçoit une rétrocession de 2.300 euros HT mensuelle à mi-temps.

Si au cours du mois il a perçu 350 euros d’Indemnités Journalière en raison d’arrêts maladie, le cabinet lui versera une rétrocession de :

2.300 euros– 350 euros/ 2 = 2.125 euros HT.

Seules les indemnités perçues sur la période doivent être déduites de la rétrocession d’honoraires, le cabinet assumant le retard de règlement des organismes sociaux. 

N.B : en aucun cas le cabinet ne peut demander au collaborateur de travailler à distance des dossiers du cabinet lors de son arrêt maladie.

« En cas d’indisponibilité pour raison de santé au cours d’une même année civile, l’avocat collaborateur libéral reçoit pendant deux mois maximum sa rétrocession d’honoraires habituelle, sous déduction des indemnités journalières éventuellement perçues au titre des régimes de prévoyance collective du barreau ou individuelle obligatoire. Une telle indisponibilité pendant la période d’essai suspend celle-ci. La période d’essai reprend de plein droit, pour la durée restant à courir, au retour du collaborateur » (article 14.3 du RIN).

« En cas d’indisponibilité pour raison de santé médicalement constatée au cours d’une même année civile, l’avocat collaborateur libéral reçoit pendant deux mois maximum sa rétrocession d’honoraires habituelle, sous déduction des indemnités journalières éventuellement perçues au titre des régimes de prévoyance collective du barreau ou individuelle obligatoire. Une telle indisponibilité pendant la période d’essai suspend celle-ci. La période d’essai reprend de plein droit, pour la durée restant à courir, au retour du collaborateur » (article P.14.3 du RIBP).

Ainsi, en cas de maladie, le collaborateur perçoit sa rémunération pendant 2 mois, sous déduction des indemnités journalières perçues sous ce chef de la sécurité sociale et des régimes complémentaires obligatoires de prévoyance.

Ces arrêts maladie peuvent être successifs : le principe étant que le total des arrêts indemnisés soit de 2 mois au cours de la même année civile.

Au-delà de 2 mois, les jours d’arrêt de travail entraîneront une réduction de la rétrocession au prorata des jours non travaillés dans le mois.

Exemple de calcul pour un contrat de collaboration à temps plein :

Pour un collaborateur qui perçoit une rétrocession de 4.000 euros HT mensuelle.

Si au cours du mois, il a perçu 500 euros d’indemnités journalières en raison d’arrêts maladie, le cabinet lui versera une rétrocession de :

4.000 euros – 500 euros = 3.500 euros HT.

Exemple de calcul pour un contrat de collaboration à temps partiel :

Si le contrat de collaboration est à temps partiel, la déduction se fait alors en fonction d’un prorata temporis.

Pour un collaborateur qui perçoit une rétrocession de 2.300 euros HT mensuelle à mi-temps.

Si au cours du mois il a perçu 350 euros d’Indemnités Journalière en raison d’arrêts maladie, le cabinet lui versera une rétrocession de :

2.300 euros– 350 euros/ 2 = 2.125 euros HT.

Seules les indemnités perçues sur la période doivent être déduites de la rétrocession d’honoraires, le cabinet assumant le retard de règlement des organismes sociaux. 

N.B : en aucun cas le cabinet ne peut demander au collaborateur de travailler à distance des dossiers du cabinet lors de son arrêt maladie.

« En cas d’indisponibilité pour raison de santé au cours d’une même année civile, l’avocat collaborateur libéral reçoit pendant deux mois maximum sa rétrocession d’honoraires habituelle, sous déduction des indemnités journalières éventuellement perçues au titre des régimes de prévoyance collective du barreau ou individuelle obligatoire. Une telle indisponibilité pendant la période d’essai suspend celle-ci. La période d’essai reprend de plein droit, pour la durée restant à courir, au retour du collaborateur » (article 14.3 du RIN).

« En cas d’indisponibilité pour raison de santé médicalement constatée au cours d’une même année civile, l’avocat collaborateur libéral reçoit pendant deux mois maximum sa rétrocession d’honoraires habituelle, sous déduction des indemnités journalières éventuellement perçues au titre des régimes de prévoyance collective du barreau ou individuelle obligatoire. Une telle indisponibilité pendant la période d’essai suspend celle-ci. La période d’essai reprend de plein droit, pour la durée restant à courir, au retour du collaborateur » (article P.14.3 du RIBP).

Ainsi, en cas de maladie, le collaborateur perçoit sa rémunération pendant 2 mois, sous déduction des indemnités journalières perçues sous ce chef de la sécurité sociale et des régimes complémentaires obligatoires de prévoyance.

Ces arrêts maladie peuvent être successifs : le principe étant que le total des arrêts indemnisés soit de 2 mois au cours de la même année civile.

Au-delà de 2 mois, les jours d’arrêt de travail entraîneront une réduction de la rétrocession au prorata des jours non travaillés dans le mois.

Exemple de calcul pour un contrat de collaboration à temps plein :

Pour un collaborateur qui perçoit une rétrocession de 4.000 euros HT mensuelle.

Si au cours du mois, il a perçu 500 euros d’indemnités journalières en raison d’arrêts maladie, le cabinet lui versera une rétrocession de :

4.000 euros – 500 euros = 3.500 euros HT.

Exemple de calcul pour un contrat de collaboration à temps partiel :

Si le contrat de collaboration est à temps partiel, la déduction se fait alors en fonction d’un prorata temporis.

Pour un collaborateur qui perçoit une rétrocession de 2.300 euros HT mensuelle à mi-temps.

Si au cours du mois il a perçu 350 euros d’Indemnités Journalière en raison d’arrêts maladie, le cabinet lui versera une rétrocession de :

2.300 euros– 350 euros/ 2 = 2.125 euros HT.

Seules les indemnités perçues sur la période doivent être déduites de la rétrocession d’honoraires, le cabinet assumant le retard de règlement des organismes sociaux. 

N.B : en aucun cas le cabinet ne peut demander au collaborateur de travailler à distance des dossiers du cabinet lors de son arrêt maladie.

« En cas d’indisponibilité pour raison de santé au cours d’une même année civile, l’avocat collaborateur libéral reçoit pendant deux mois maximum sa rétrocession d’honoraires habituelle, sous déduction des indemnités journalières éventuellement perçues au titre des régimes de prévoyance collective du barreau ou individuelle obligatoire. Une telle indisponibilité pendant la période d’essai suspend celle-ci. La période d’essai reprend de plein droit, pour la durée restant à courir, au retour du collaborateur » (article 14.3 du RIN).

« En cas d’indisponibilité pour raison de santé médicalement constatée au cours d’une même année civile, l’avocat collaborateur libéral reçoit pendant deux mois maximum sa rétrocession d’honoraires habituelle, sous déduction des indemnités journalières éventuellement perçues au titre des régimes de prévoyance collective du barreau ou individuelle obligatoire. Une telle indisponibilité pendant la période d’essai suspend celle-ci. La période d’essai reprend de plein droit, pour la durée restant à courir, au retour du collaborateur » (article P.14.3 du RIBP).

Ainsi, en cas de maladie, le collaborateur perçoit sa rémunération pendant 2 mois, sous déduction des indemnités journalières perçues sous ce chef de la sécurité sociale et des régimes complémentaires obligatoires de prévoyance.

Ces arrêts maladie peuvent être successifs : le principe étant que le total des arrêts indemnisés soit de 2 mois au cours de la même année civile.

Au-delà de 2 mois, les jours d’arrêt de travail entraîneront une réduction de la rétrocession au prorata des jours non travaillés dans le mois.

Exemple de calcul pour un contrat de collaboration à temps plein :

Pour un collaborateur qui perçoit une rétrocession de 4.000 euros HT mensuelle.

Si au cours du mois, il a perçu 500 euros d’indemnités journalières en raison d’arrêts maladie, le cabinet lui versera une rétrocession de :

4.000 euros – 500 euros = 3.500 euros HT.

Exemple de calcul pour un contrat de collaboration à temps partiel :

Si le contrat de collaboration est à temps partiel, la déduction se fait alors en fonction d’un prorata temporis.

Pour un collaborateur qui perçoit une rétrocession de 2.300 euros HT mensuelle à mi-temps.

Si au cours du mois il a perçu 350 euros d’Indemnités Journalière en raison d’arrêts maladie, le cabinet lui versera une rétrocession de :

2.300 euros– 350 euros/ 2 = 2.125 euros HT.

Seules les indemnités perçues sur la période doivent être déduites de la rétrocession d’honoraires, le cabinet assumant le retard de règlement des organismes sociaux. 

N.B : en aucun cas le cabinet ne peut demander au collaborateur de travailler à distance des dossiers du cabinet lors de son arrêt maladie.

Pour nous joindre

Si vous rencontrez la moindre difficulté dans le cadre de votre collaboration, vous pouvez contacter de façon anonyme le service SOS Collaborateurs à l’adresse email ci-dessous.

Vous pourrez alors exposer votre difficulté et trouver, nous l’espérons, une réponse à votre interrogation.

En cas de nécessité, SOS collaborateur peut être à vos côtés dans le cadre de la commission de conciliation de l’Ordre.

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NOUS ECRIRE (confidentiellement) : soscollaborateurs@uja.fr

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